De 9 à 21 ans le sport de compétition occupe toute l’existence de ce biathlète, amoureux de sa Savoie natale. Un jour, Maxime Meilleur entre dans la cuisine de son père « pour y faire une crème anglaise » ; il n’en est jamais ressorti !
Pris de passion, il assiste René, observe, essaye, réessaye, cherche et répète les gestes. Lui qui n’a aucune formation culinaire travaille avec autant d’acharnement que son père, se sert de son instinct pour apprivoiser et composer avec les saveurs et les outils. Aussi peu « formaté » que René, Maxime apporte à La Bouitte un esprit d’équipe et de compétition, une précision et une rigueur accrues, tout en partageant le goût de René pour l’authenticité du terroir de la région. Et c’est bien cet esprit de compétition, cette exigence de travail et cette passion, qui mèneront le père et le fils sur la 1ère marche du podium gastronomique avec une 3ème étoile au Guide Michelin en 2015 ; vécue par Maxime comme un titre olympique.
« La carrière d’un sportif est très courte au regard d’une vie mais cela a été une excellente école pour moi. C’est à elle que je dois d’avoir, ancré en moi, ce désir d’avancer toujours plus loin, de ne rien lâcher. J’ai aussi appris à gérer une course, sentir quand on doit accélérer et quand ralentir. Ce sont les nouveautés qui ont toujours fait le succès de La Bouitte alors il est important pour nous d’aller de l’avant pour éviter le sur-place. ».
Depuis 1996 puis la première étoile au Guide Michelin, acquise en 2003, c’est une histoire à quatre mains qui s’écrit en cuisine. Mais pas uniquement car à La Bouitte la famille a développé un savoir-faire polyvalent unique, englobant tous les métiers de la cuisine à l’hostellerie en passant par la construction et la décoration, en intersaison. Maxime apporte ainsi la 2ème pièce à l’édifice, afin que l’histoire se perpétue.
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Maxime Meilleur
Maxime Meilleur, le dépassement de soi
De 9 à 21 ans le sport de compétition occupe toute l’existence de ce biathlète, amoureux de sa Savoie natale. Un jour, Maxime Meilleur entre dans la cuisine de son père « pour y faire une crème anglaise » ; il n’en est jamais ressorti !
Pris de passion, il assiste René, observe, essaye, réessaye, cherche et répète les gestes. Lui qui n’a aucune formation culinaire travaille avec autant d’acharnement que son père, se sert de son instinct pour apprivoiser et composer avec les saveurs et les outils. Aussi peu « formaté » que René, Maxime apporte à La Bouitte un esprit d’équipe et de compétition, une précision et une rigueur accrues, tout en partageant le goût de René pour l’authenticité du terroir de la région. Et c’est bien cet esprit de compétition, cette exigence de travail et cette passion, qui mèneront le père et le fils sur la 1ère marche du podium gastronomique avec une 3ème étoile au Guide Michelin en 2015 ; vécue par Maxime comme un titre olympique.
« La carrière d’un sportif est très courte au regard d’une vie mais cela a été une excellente école pour moi. C’est à elle que je dois d’avoir, ancré en moi, ce désir d’avancer toujours plus loin, de ne rien lâcher. J’ai aussi appris à gérer une course, sentir quand on doit accélérer et quand ralentir. Ce sont les nouveautés qui ont toujours fait le succès de La Bouitte alors il est important pour nous d’aller de l’avant pour éviter le sur-place. ».
Depuis 1996 puis la première étoile au Guide Michelin, acquise en 2003, c’est une histoire à quatre mains qui s’écrit en cuisine. Mais pas uniquement car à La Bouitte la famille a développé un savoir-faire polyvalent unique, englobant tous les métiers de la cuisine à l’hostellerie en passant par la construction et la décoration, en intersaison. Maxime apporte ainsi la 2ème pièce à l’édifice, afin que l’histoire se perpétue.